Plus tard, c’est sur ces années-là que tu retourneras. Ce sont tes plaisirs, tes douleurs, tes déceptions de jeunesse que tu voudras retrouver. Tu te réconcilieras avec des gens qui t’ont déçue, qui t’ont trahie. Tu aimeras encore plus ceux qui t’ont aimée autrefois.
Tu voudras retrouver cette douleur passée, la transformer en
douceur, parce que, c’est plus facile que de toujours aller de l’avant,
toujours se battre.
Plus on vieillit, moins on a
envie d’agir. La pensée ralentit, tourne autour des mêmes choses qui deviennent
des obsessions qui bercent ou qui rendent fou. Les miennes me bercent.
Katherine Pancol
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de
droits
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