jeudi 20 mars 2025

Mes monorimes: Vie de grenouille


Quelle chance d'être une grenouille

Non, je ne suis pas couverte de rouille

Je ne ressemble pas du tout à une vadrouille

Ma vie n'est pas constamment une embrouille

Et, je ne mange pas souvent des plats aux nouilles

Assaisonnés avec du céleri et du fenouil

Je ne suis pas plus friande de ratatouille

Dans la nature, comme un génie, je me débrouille

Ainsi, lorsque j'aperçois un étang, je me débarbouille

En observant avec curiosité tout ce qui y grouille

Surtout les longues et fières quenouilles

En imitant le chant des oiseaux, gaiement, je gazouille

Je rencontre souvent mon ami papillon Gribouille

Il est coloré comme une vraie citrouille

Quand je le vois, mon 💚 de bonheur, gargouille

Ne me demandez pas pourquoi, je bafouille

Des mots d'amitié, souvent, je lui bredouille

Quand il se pose sur moi, cela me chatouille

Mais, il ne ressemble certes pas à une gargouille

Alors, il ne me donne jamais la trouille

Il sera toujours un amour de fripouille

Et, mon trésor de poésie rimé en ouille.

Écrit et publié par Martine Pelletier (auteure)



Mes monorimes: Casimir


Je me nomme Casimir

Laissez-moi donc en paix dormir

Sans toutefois me dévêtir

Je n'ai pas peur du tout de fléchir 

Car, je sais bien m'accroupir

À cet arbre, pour mieux réfléchir

Ainsi sur ma proie, subitement rebondir

Et, m'amuser à la faire drôlement fuir

Ou juste simplement la séduire

Avec mon pelage couleur de cachemire

Que j'aimerais tant la divertir

Et, ensuite gentiment, lui offrir

De douces attentions sans la faire rougir

Lui parler certainement d'un proche avenir

Peut-être avec elle, partir

De plus, tout cela m'inspire

À fonder un céleste empire

Pour ensemble paisiblement vieillir

Afin de se forger de précieux souvenirs

En espérant que je saurai la ravir

Et, sur son visage, je verrai un complice sourire

Qui se prolongera au-delà du devenir

Regarder dans la même direction, se soutenir

Ensuite, faire de notre jardin, des fleurs à cueillir.

Écrit et publié par Martine Pelletier




La mer


La mer est le seul lieu où crier de joie est possible

sans que personne demande de baisser la voix,

peut-être parce que la mer est le seul endroit

où chacun de nous se sent pareil au jour où il l'a découverte.

Et, où il se sent, la plupart du temps, un enfant.

Véronique Olmi
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits

Mes monorimes: La forêt de mousse


Dans cette forêt magique imprégnée de mousse

Ne vit absolument pas Barberousse

Nous sommes bien loin aussi de l'île-Rousse

Peu connu du dictionnaire Larousse

Absent aussi cet animal appelé le Gamousse

Que l'on retrouve très souvent dans la brousse

Et, qui donne bien souvent la frousse

On dirait que de loin, il tousse

Quand il crève d'envie de nous lancer sa gargousse

Mais, armé d'un cri alarmant, le roi lion le repousse

Et, son chemin, à la vitesse, il rebrousse

De plus, on entend alors une grande secousse

Quand cet ennemi, apeuré, se pousse

Et, le roi de la forêt, de joie, glousse

En quittant les lieux, le voilà qui se trémousse

En ayant des admiratrices à ses trousses

Dans cette forêt magique imprégnée de mousse

Se retrouvent la fée magique et Frimousse

Pour déguster paisiblement des pamplemousses

Sans oublier de cueillir des racines de jarousses

Ainsi que des succulents pois sauvages en gousses

Qu'ils placeront dans une magnifique housse

Pour offrir gentiment à monsieur Damphousse.

Écrit et publié par Martine Pelletier (auteure)




Mes monorimes: La danse des marguerites



Elle me laisse grandement déconfite

Cette folle danse des marguerites

Elle est d'une version inédite

Vraiment, elles sont mes fleurs favorites

Habillées par de vrais stylistes

Quand je les vois, mon 💙 palpite

Elles ne vivent jamais en ermites

Car, elles aiment trop recevoir de la visite

Même quand doucement, on les effrite

Elles se consolent bien vite 

Lorsque quelques fois, on les évite

Ces demoiselles gardent toujours leur mérite

Explosant de joie comme de la dynamite

Et, du soleil ardent, elles profitent

Quand vient la pluie, elles méditent

Pour elles, c'est pareil à de l'eau bénite

Quand des insectes décident d'y faire leurs gîtes

De bonheur, elles en sont séduites

Elles se couvrent de délicates pépites

Composées de mille couleurs jaunes inédites

Les planter au jardin, c'est vraiment une réussite

Accompagnées des charmantes clématites

Pour les protéger des parasites

Qui sont souvent tellement hypocrites

Pour émerveiller nos yeux, par la suite

D'un spectacle teinté d'une beauté gratuite

Voilà, mon adoration pour ces fleurs est dite

Ces rimes poétiques ont été écrites

Pour faire sourire Édite et Judite.

Écrit et publié par Martine Pelletier (auteure)





 

Un sauvetage d'amour


Je suis un tendre oisillon

Avec la hâte de voler de mes propres ailes

Sans trop me poser de questions

Je suis tombé de mon nid

Vers l'heure du midi

Pour admirer le vaste ciel

Pouvoir sentir le parfum des fleurs

Ce vent frais qui m'effleure

Apprécier aussi sur mes plumes la délicate rosée

Et, par elle, me faire doucement caresser

Papa et maman sont venus à mon secours

Ainsi par leur assurance teintée de tendresse

Leurs gestes ponctués d'amour

Je me sentais comme une vraie déesse

Des images de liberté grandiose

Me transportaient déjà dans les champs de roses

Pendant ce spectaculaire sauvetage

Qui m'a donné une vraie leçon de courage

Pour entreprendre de folles aventures

Dans les immenses contrées de verdure.

Publié par Martine Pelletier (auteure)
Photo: photographe inconnu

Conte de vie et d'espoir


Seul et découragé, un naufragé sur une île prie quotidiennement pour être libéré.

Mais, le vaste horizon de la mer n’est qu’une ligne bleue sans fin, désespérément bleue…
Pour se mettre à l’abri, il construit une grande et confortable hutte en quelques semaines de travail intense.

Fier de sa création, il part tout heureux à la chasse, mais un orage soudain le contraint à revenir en toute hâte vers son abri.
Trop tard. Elle a été frappée violemment par la foudre et le feu la détruite en peu de temps.

Il était déjà terriblement malchanceux d’être prisonnier sur une île déserte et sans secours et voilà que la tragédie le frappe de plein fouet. Ce fut une immense perte, tout s'est envolé en fumée.


Après le choc instantané, le chagrin et une immense colère prirent la vedette. Découragé, anéanti par la rage et accablé par une fatigue extrême, il s’endort épuisé sur le sable.
Le lendemain matin, il est réveillé subitement par un bruit sourd… un moteur…

Il bondit en un éclair sur ses jambes: un immense cargo approche de son île. Ça y est, il est enfin sauvé. Une fois en sécurité sur le bateau, le naufragé demande au capitaine : « Comment saviez-vous que je me trouvais ici? »
Et, le capitaine de lui répondre: « Nous avons vu votre signal de fumée. »


La vie nous confronte au quotidien à une série de situations difficiles et qui nous semblent impossibles à résoudre. Un obstacle sur notre chemin peut devenir un véritable levier pour regarder notre vie autrement. Il y a toujours une roue de secours teintée de positif après un grand naufrage.

Adapté et publié par Martine Pelletier
Photos: libres de droits

Ce jardin-là


Il était une fois un grand jardin, le grand jardin de ma vie. Il avait jailli, un jour d'hiver, au détour d'une rencontre.

Le papa jardin et la maman jardin avaient fait ce qu'ils croyaient le mieux à faire pour ce petit jardin inattendu. Ils lui donnèrent de l'engrais, lui apportèrent leur présence, lui proposèrent leurs attentes et leurs demandes. Ils surveillaient jalousement les pousses. Si d'aventure quelque herbe folle poussait là, elle était aussitôt arrachée.

Il fallait que tout pousse droit. Sinon, que diraient exactement « les autres »?

Peu de mots étaient échangés. Pour ces parents-là, il n'était pas nécessaire de parler, d'exprimer. Ils avaient la croyance que tout se vit en silence, à l'intérieur, à l'abri de « l'extérieur ».

Et, le petit jardin avait grandi, comme cela, sans poser de questions, en jardin obéissant, sans repères, sans mots pour se dire, sans être entendu.

Plus tard, devenu grand, le jardin rencontra un jardinier extraordinaire qui avait dans son sac de fabuleux outils. Ces outils s'appelaient:

  • oser se dire,
  • oser dire non,
  • oser recevoir,
  • oser demander,
  • se relier à soi,
  • se relier aux autres,
  • se relier à son histoire,
  • utiliser les symbolisations,
  • ne pas vouloir agir sur l'autre,
  • agir à son bout de la relation,
  • et d'autres encore...

Enfin le jardin sentit la vie venir en lui, belle, possible.

Dans sa terre, il retrouva ses demandes jamais dites, ses désirs jamais dits, ses besoins. Il entendit, derrière les souffrances, les blessures encore ouvertes. C'était tout cela qui faisait mal, qui empêchait les racines d'aller plus loin, vers l'eau, vers la vie.

Les choses changèrent quand le jardin s'autorisa enfin à être « l'auteur » de sa vie... Des fontaines jaillirent et arrosèrent la terre. Cette terre pouvait enfin laisser venir en elle un autre regard, d'autres possibles...

Avec, au plus profond du 💗 de ce jardin, une infinie tendresse, claire comme l'eau de la fontaine au printemps, lumineuse comme le soleil d'été, chaude comme l'amour offert une nuit d'hiver, légère comme un vent d'automne quand le soir tombe, une douce tendresse pour le jardinier de la vie.

Auteur inconnu

Publié par Martine Pelletier

Photo: Martine Pellletier

Entre poésie et photographie: La marmotte

                     Johanne Gagné-photographie

Vous avez sûrement deviné, je suis une marmotte

Mon apparence est vraiment boulotte

Ne trouvez-vous pas que j'ai une allure rigolote

Avec mes dents pointues, souvent, je grignote

De plus, ma fourrure est absente, de douces frisottes

Je ne ressemble aucunement à la gélinotte

Avec qui je partage souvent un brin de parlotte

Qui, elle, a une ravissante tête de linotte

Et, qui est quelques fois bien pâlotte

Puisque son menu est fait d'herbe en compote

Je mange souvent en catimini des carottes

Mais, je ne touche jamais aux échalotes

Et, ce menu, grandement me ravigote

Dans un jardin, je ressemble à une mascotte

Intrépide, je n'ai jamais la tremblotte

Excepté quand la fermière Charlotte

Avec son chien complice, ils complotent

Je déguerpis de crainte qu'ils me ligotent

Et, je vais sous terre et non dans une roulotte

Là, où sont absentes d'extravagantes bougeottes

En hiver, je vis au ralenti, je deviens vieillotte

J'aurais bien besoin d'une bonne bouillotte

Plus il fait froid et plus je radote

C'est la seule saison où je vivote

Mais, le printemps venu, je me démaillote

Ainsi, des projets plein la tête, je mijote

Je me transforme alors en Don Quichotte

Je chausse mes imaginaires bottes 

Et, moi, la marmotte, plus rien ne me chicote

Dans la campagne fleurie, enfin, je vis et je trotte.

Écrit et publié par Martine (auteure)
Photo: Johanne Gagné-photographie


Mes monorimes: Drôles de chats


Beau bonjour Catalina et Bella

Vous êtes vraiment de drôles de chats

Assis confortablement, mais pas en pyjamas

Mais, dites-moi, c'est quoi tout ce barda

Que faites-vous là, assis sur cette halte-là

Avez-vous perdu votre billet de cinéma 

Cherchez-vous votre carte Visa

Pour vous rendre joyeusement à l'opéra

Peut-être, prendre du soleil, destination Cuba

Pour y vivre comme de vrais pachas

Dans une somptueuse villa

Peut-être en Espagne pour abolir la corrida

Et, comme récompense, déguster de la sangria 

En admirant les massifs de la Sierra

Et, en faire un merveilleux diaporama.

Ou bien voyager au Canada

Se rendre aux chutes Niagara

Et, s'exclamer de joie avec des hourras

Visiter le Québec avec un programme à l'agenda

Parcourir des superbes jardins de dahlias 

Saluer en passant les délicats bégonias

Ne pas résister au charme blanc des gardénias

À ne pas oublier aussi les spectaculaires hortensias

Et, prendre part à une tombola

En savourant un délicieux mimosa

Avant d'entendre chanter Mario Pelchat

Avec sa douce mélodie, la Valse des Lilas

Mais, je vois que vous préférez rester là

À observer à la loupe les souris et les rats

Pour vous deux, ce n'est pas du charabia

C'est votre vie rêvée et enrichie de brouhahas

Apprenons à respecter tout ça.

Écrit et publié par Martine Pelletier (auteure)

Photo: libre de droits







Créatures Fantastiques: Les Centaures


Centaures, ces créatures ont le corps du cheval, mais humains de la taille à la tête, avec des oreilles en pointe comme celles d'un démon.

En raison de nombreuses batailles, la majorité de ces créatures ne vivait pas au-delà de quarante ans.

Ne pas s'approcher d'un centaure lorsqu'il a trop bu du vin est le mot d'ordre, car sa force est encore plus brutale.

Tandis que les centaures s'amusaient à faire des mauvais coups, les femmes restaient dans les cavernes ou erraient dans la forêt.

Aimables et bons, certains possédaient ces qualités, mais la plupart attaquaient tous ceux qui se mettaient au travers de leur chemin.

Un de leurs mets préférés était de la viande crue dont les tribus  chassaient toutes ensemble.

Ruer et piétiner tout ce qui se trouvait sur leur route était ce qui les caractérisait le mieux.

En Grèce antique, le plus célèbre des centaures avait pour nom Chiron. Il est aujourd'hui le symbole de la constellation du Sagitaire.

Si par hasard, tu aperçois cette espèce de cavalier s'approchant au galop, petit conseil d'ami: fuis à vitesse vertigineuse.

Textes: Martine Pelletier

Photo: libre de droits

Publié par Martine Pelletier

Créatures Fantastiques: Les Hippocampes


Harmonieux et gracieux sont ces mythiques hippocampes appelés aussi les chevaux des mers.

Ils surfent joyeusement sur les vagues comme d'excellents nageurs.

Pour s'alimenter, ils parcourent les eaux chaudes côtières à la recherche d'algues, leur repas préféré.

Pour se reproduire, c'est le même processus que pour les mammifères marins comme les dauphins et les baleines.

Océan Indien est un des endroits où ils vivent en groupe et en hordes sauvages.

Comme de vrais poissons, ils respirent sous l'eau grâce à leurs branchies.

Abien regarder, ils ont la tête et le torse du cheval, une longue queue de poisson, le corps recouvert d'écailles, les pattes sont celles du cheval munies de sabots palmés.

Magnifique est leur trot sur l'eau... si nous pouvons parler de trot dans le milieu marin.

Pour bien nous épater, disons que ses mensurations extraordinaires atteignent trois mètres et demi de long.

Essayez donc de dompter les hippocampes: seuls les dieux y parviennent, car ils sont très fiers.

Si tu tentes d'en élever un en captivité, il sera très docile et tu seras certainement son maître. Imagine-toi sillonner les mers du monde à dos d'hippocampe? Rêve ou réalité?

Texte adapté: Martine Pelletier

Photo: libre de droits

Publié par Martine Pelletier

Créatures Fantastiques: Le Pégase



Voici le noble et prestigieux Pégase

Devant lui, nous sommes en extase

Il est d'une rare élégance et d'une exquise beauté 

Avec sa fière et unique allure chevaline

Doté de grandes et puissantes ailes, il pouvait voler

À la différence d'autres espèces équines

Ce qui faisait de lui la plus grande créature des airs

Dans le ciel, il se déplaçait vite comme l'éclair

Ainsi, ses ailes devenaient de la couleur dorée

Il était le cheval le plus rapide qui ait jamais existé

Quand il galopait sur les terrains plats

C'était comme s'il s'en allait au combat

Pégase filait plus vite que la vitesse du vent

Plusieurs essayèrent maintes fois de le capturer

Mais, toujours, il se moquait de ses poursuivants

En s'envolant dans le ciel, en hennissant de victoire

Il est considéré comme le plus bel animal de l'Univers

Qui ne rêverait pas de chevaucher cet être fabuleux

Cette merveilleuse créature peu ordinaire

Ainsi, retourner dans la Grèce mythique

Ce coin du monde tellement magnifique

Découvrir d'autres pégases volant dans les cieux.

N.B. Pégase est une constellation de l'hémisphère nord, septième constellation par sa taille. La constellation de Pégase est l'une des plus belles constellations visibles dans le ciel nocturne. Elle se compose de quatre étoiles principales qui forment un carré appelé le carré de Pégase. 

Texte: Martine Pelletier

Photo: libre de droits

Publié par Martine Pelletier




 



Créatures Fantastiques: Le Oannès

 Oannès était un sage qui vécut 5000 ans avant J.-C. et fut le maître de tous les êtres humains. Il avait le corps d'un poisson, mais une tête humaine et des pieds d'homme de chaque côté de sa queue de poisson. Il était sans aucun doute le masculin de la sirène.

Au bout d'un peu de temps, il sortit de la mer pour parler à des hommes qui vivaient à l'état sauvage. Ces derniers l'écoutèrent, car Oannès était un être très intelligent et puissant.

Naturellement, il leur enseignait les lettres, les sciences et les arts. Il leur a appris aussi à construire des maisons, des temples. À ensemencer la terre et à en récolter ses fruits.

Ne pas oublier aussi de leur apprendre les lois et à se gouverner pour qu'ils vivent correctement en société.

Et Oannès ne s'alimentait pas comme eux. Dès la tombée de la nuit, il retournait dans les profondeurs de la mer et y restait jusqu'à l'aube.

Ses hommes le vénérèrent comme un dieu en l'appelant le Seigneur des Vagues.

Publié par Martine Pelletier


Créatures Fantastiques: Les Nains




Qui sont-ils? Ce sont une race d'hommes et de femmes de petite taille. Ils sont souvent gros et trapus, aux jambes et aux bras trop courts. Ce qui les fait paraître avoir une grosse tête. Certains ont une bosse dans le dos. Les hommes portent la barbe et certaines femmes aussi. Leurs vêtements sont grossiers et se coiffent d'un bonnet pointu.

Où vivent-ils? Certains vivent dans les profondeurs de la terre et d'autres dans les montagnes dans le nord de l'Europe. Mais, on peut en trouver dans n'importe quel coin de la terre. Habiles excavateurs, ils ont construit de grandes cités souterraines. Ils aiment aussi l'air libre et la lumière du jour.


Que font-ils? Ils ont une grande passion pour le monde minéral. Ils possèdent un flair exceptionnel pour dénicher des pierres, l'or et l'argent. Ce sont aussi d'habiles artisans fabriquant des bijoux et des pièces artisanales. Ils ont fabriqué le marteau de renom de Thor, le dieu des Vikings. Ce marteau de grande renommée pouvait détruire une montagne d'un seul coup. Ils sont aussi aptes à fabriquer des objets aux pouvoirs magiques comme l'Anneau de la Richesse et une cape prodigieuse qui rendait invisible celui qui la portait.


Quelle est leur passion? Une passion démesurée pour les trésors, qu'ils gardent bien cachés, car ils sont très avares. Bien souvent, ils jettent un sort à leurs richesses. Si par hasard, une personne décidait de s'en emparer, ce serait pour lui une pluie de malheurs et de malédictions qu'il subirait. 

Autres caractéristiques: Les nains noirs sont mauvais et solitaires et ils sont sans amis. Ils gardent jalousement leurs trésors et volent fréquemment ceux des autres. Les nains blancs vivent en groupe et en harmonie avec les humains.

Publié par Martine Pelletier
Photos: libres de droits

C'est par l'écriture

Car c'est par l'écriture toujours qu'on pénètre le mieux les gens.

La parole éblouit et trompe,

parce qu'elle est mimée par le visage,

parce qu'on la voit sortir des lèvres,

et que les lèvres plaisent

et que les yeux séduisent.

Mais les mots noirs sur le papier blanc, c'est l'âme toute nue.

Guy de Maupassant
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits

Étonnante nature (22)


On peut franchement avouer que ce pic Pachamama doit vraiment descendre du paradis. C'est aussi cela, faire de sa vie une oeuvre d'art. Une autre beauté rare de Dame Nature.


Tellement superbe, avec son air malicieux, ce Touraco de Pauline. Sa charmante huppe rouge lui donne un charme fou. On le retrouve sur le territoire de l'Angola. Joli bec aussi.


Une impressionnante orchidée chauve-souris. Elle est réellement spéciale avec ses filaments qui semblent voler au vent.


De la délicate dentelle pour ce Colibri d'Anna. Le plumage sur son cou et sa tête change de couleur en fonction de son orientation. C'est le plus grand des colibris au Canada. Encore une impressionnante élégance de la nature.


Est- ce de faux cils? Bien non. Je vous présente le Messager sagittaire. Il vit en Afrique. On peut s'exclamer sans modération, car il est grandement magnifique.

Publié par Martine Pelletier
Source: Perles d'Amazonie

Étonnante nature (14)

 


Un fantôme en fuite? Non, je suis une chic demoiselle en brindilles de bois dotée d'une allure spectaculaire. Juste, un important petit conseil, en passant: Gardez vos cigarettes, loin de moi, car ce serait dommage de me voir disparaître en fumée.



Un succulent plat au menu? Un splendide médaillon? Oh! Non! C'est une merveilleuse complicité, une sorte de Yin & Yang. Chacun est parfaitement à sa place, dans le plus grand des respects et dans un extraordinaire partage.



L'extravagante demoiselle épineuse. Elle vous propose son spectacle gratuit de Pompon Girl. Cela vous dirait un p'tit câlin qui a du piquant?



Par une nuit de gel, cette mangeoire s'est couverte par magie de glace. Ce ravissant abri éphémère, fait le bonheur de cet oiseau, tout surpris, de contempler cette création naturelle surprenante et féerique.


Élégant, n'est-ce pas? Je suis le Canard Mandarin. De petits comiques humains disent que je suis un puzzle (casse-tête) vivant, à cause de mon plumage, comme découpé en plusieurs morceaux. Tenez-vous bien: on me donne le titre de symbole de la fidélité conjugale. Quel titre accrocheur!

Source: Curieux de Nature
Publié par Martine Pelletier
Textes: Martine Pelletier