lundi 24 mars 2025

Souvenirs rétro (5)


Wow! La boîte à musique! Je me souviens très bien, il y en avait à chaque banquette au petit restaurant Chez Jules, dans le village de Baie-des-Sables. Je ne me souviens plus combien de sous il fallait insérer pour faire jouer de la musique populaire de l'époque. Ce n'était pas très dispendieux! Je me souviens par contre que je faisais jouer souvent des mélodies des Sultans, des Bel Canto, des Bel Air, de César et les Romains... tout cela en dégustant une bonne p'tite frite maison avec du ketchup à volonté! Des moments d'adolescence inoubliables!

Une vraie reine de la route! Une Corvette 1972, qui faisait retourner les têtes quand elle passait près de nous! Certains disaient qu'on était assis tellement bas, que lorsqu'on avait le malheur de passer sur des routes dures, on avait de grandes douleurs aux fesses! Moi, je ne sais pas car je n'ai pas eu le plaisir de faire une promenade avec ce bolide rétro! Je me promenais en Camaro 1967!


Qui de ma génération n'a pas eu un véritable coup de 💗 pour Bobino et Bobinette? Les marionnettes étaient tellement bien animées! Cette émission jeunesse était à l'affiche vers 16h00 à Radio-Canada et on l'écoutait en arrivant de l'école. Ensuite, le souper et les devoirs. La soirée se terminait par des jeux à l'extérieur, bien souvent avec des amis voisins. Une vie d'enfance simple mais tellement riche de nombreux partages.


Ceux et celles de ma génération vont certainement reconnaître cet appareil magique! C'est un appareil photo vedette des années 70. On peut affirmer en souriant, que c'est l'ancêtre des selfies d'aujourd'hui. Si je me rappelle bien, le coût était de 25 sous pour 3 photos en noir et blanc. On pouvait se faire photographier plusieurs dans cette grande cabine. On devait par contre attendre un peu pour se procurer les photos car, il fallait qu'elles sèchent. On avait bien hâte de voir le résultat final! On avait bien du plaisir, croyez-moi quand on découvrait notre binette!


Un jeu qui rassemblait toute la famille dans les maisonnées. Le jeu du pichenottes qui n'avait pas de rebords de protection ou si peu. On devait se lever plusieurs fois pour le ramassage. De plus, à la fin de chaque séance, on se retrouvait avec le bout du doigt rouge et très sensible. Mais peu importe, on oubliait vite et on repartait pour une nouvelle torture! AH! AH! Encore un enjoué souvenir de notre enfance.

Publié par Martine Pelletier
Textes: Martine Pelletier



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