vendredi 28 mars 2025

Sur ton chemin

 Sur ton chemin il y aura des instants où tu feras des arrêts.

D'autres sur lesquels tu feras des embardées.
D'autres où tu marcheras avec des gens qui te sont proches.
D'autres où tu devras marcher seul.
Il y aura des jours où tu seras heureux.
D'autres où tu te sentiras triste.
Mais il ne faut pas t'inquiéter.
Tu n'as pas pris le mauvais chemin.
C'est la vie tout simplement.
Lynn Farwin
Publié par Martine Pelletier
Photo: Martine Pelletier


La lumière



Cette flamme qui brûle au fond des êtres est belle et pure. Ce n'est pas une déflagration qui calcine. C'est une action obstinée et réfléchie, une combustion continue. C'est la force de l'irréductible.

C'est une flamme qu'on ne remarque pas tout d'abord, parce qu'on est souvent distrait par toutes les étincelles et tous les éclats qui tourbillonnent sans cesse: la brillance, le luxe, miroirs partout tendus, phares aveuglants braqués sur les yeux, grandes plages de couleur, de blancheur.

Mais, lorsque tout devient gris de fatigue et d'usure, lorsque la plupart des êtres se sont éteints et se sont effacés, alors on remarque cette lueur étrange qui brille par endroits, comme des feux de braise.


Quelle est cette lueur? Que veut-elle? Est-ce le désir? Le plus simple désir alors, la force de la vie, la force de la vérité. Ceux qui refusent les mensonges, ceux qui ne sont pas compromis dans les affaires louches du monde, ceux qui ne se sont pas avilis, qui n'ont pas été vaincus, ceux qui ont continué à vibrer quand tous les autres se sont endormis: la lumière n'a pas quitté leurs yeux.

Elle continue à sortir de leur peau, de leur âme, la lumière pure qui ne cherche pas à vaincre ou à détruire. La lumière pour cette seule action: voir, aimer. Je cherche ceux et celles qui brûlent. Ce sont les seuls immortels.
J.M.G Le Clézio
Publié par Martine Pelletier
Photos: libres de droits

La vie: une vallée de roses?

Écoutez, j'ai jamais cessé d'être heureux. Vous savez? Il y a une phrase que j'ai souvent répétée: Merci pour les roses, merci pour les épines.

La vie n'est pas une fête perpétuelle, c'est une vallée de larmes, mais c'est aussi une vallée de roses.

Et si vous parlez de larmes, il ne faut pas oublier les roses, et si vous parlez de roses, il ne faut pas oublier les larmes.
Jean D'Ormesson
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits


Ignorance ou intelligence?

L'âne dit au tigre: "L'herbe est bleue."

Le tigre répondit: "Non, l'herbe est verte."
La discussion est devenue houleuse et les deux ont décidé de soumettre la question à l'arbitrage, alors ils se sont approchés du lion.
Quand ils s'approchaient du lion sur son trône, l'âne se mit à crier: "Votre Altesse, n'est-il pas vrai que l'herbe est bleue?"
Le lion répondit: "d’accord"
L'âne se précipita et continua: " Le tigre n'est pas d'accord avec moi, me contredit et m'agace. S'il vous plaît, punissez-le."
Le roi déclara alors: « Le tigre sera puni de 3 jours de silence. »
L'âne sauta de joie et continua son chemin, content et répétant: l'herbe est bleue, l'herbe est bleue...
Le tigre demanda au lion: "Votre Majesté, pourquoi m'avez-vous puni, après tout, l'herbe est verte?"
Le lion répondit: "Tu le sais et tu vois bien que l'herbe est verte."
Le tigre a demandé: « Alors pourquoi me punissez-vous? »
Le lion répondit: "Ça n'a rien à voir avec la question de savoir si l'herbe est bleue ou verte. La punition est parce qu'il est dégradant pour une créature courageuse et intelligente comme toi de perdre son temps à se disputer avec un âne, et en plus de ça, tu es venu me déranger avec cette question juste pour valider quelque chose que tu savais déjà être vraie!"
La plus grande perte de temps est de se disputer avec le fou et le fanatique qui ne se soucie pas de la vérité ou de la réalité, mais seulement de la victoire de ses croyances et de ses illusions.
Ne perdez jamais de temps sur des discussions qui n'ont aucun sens.
Il y a des gens qui, malgré toutes les preuves qui leur sont présentées, n'ont pas la capacité de comprendre.
D'autres qui sont aveuglés par l'ego, la haine et le ressentiment, et la seule chose qu'ils veulent, c'est avoir raison même si cela n'est pas le cas.
Quand l'IGNORANCE CRIE, l'intelligence avance…

Auteur inconnu
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Les mots

La pauvreté du vocabulaire, c'est ça la vraie misère.

C'est comme peindre avec cinq couleurs,

alors qu'on peut avoir une palette d'un millier de nuances.

Les mots pourtant, c'est gratuit,

on ne peut pas vous les voler.

Ce sont des trésors que les gens ne pensent pas à utiliser.

Bernard Werber
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits



Le temps


Il est impossible de se fier au temps! Quand je veux qu'il file, les heures se collent à moi comme de la glu. Et, il a un caractère changeant. Le temps est le fil qui ligote nos vies en paquets d'années et de mois. Ou un élastique qui s'étire selon le bon vouloir de notre imagination.

Le temps peut être un joli ruban qui orne les cheveux d'une petite fille. Ou les rides sur un visage, ou celui qui vous vole le teint et les cheveux de votre jeunesse.

Rohinton Mistry
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Le vrai charme


Les gens n'ont de charme que par leur folie. Voilà ce qui est difficile à comprendre. Le vrai charme des gens c'est le côté où ils perdent un peu les pédales, c'est le côté où ils ne savent plus très bien où ils en sont.

Ça ne veut pas dire qu'ils s'écroulent au contraire, ce sont des gens qui ne s'écroulent pas.

Mais, si tu ne saisis pas la petite racine ou le petit grain de folie chez quelqu'un, tu ne peux pas l'aimer.

On est tous un peu déments, et j'ai peur, ou je suis bien content, que le point de démence de quelqu'un, ce soit la source même de son charme.

Gilles Deleuze
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Tu rencontres dans la vie

Tu rencontres dans la vie, plusieurs personnes👭

Celles qui te lâchent la main et d’autres qui t’aident à avancer sur ton chemin…
Celles qui balancent les « je t’aime » par les fenêtres et celles qui te le diront un jour peut être…
Celles qui te rendent mal et d’autres qui te remontent le moral…
Celles qui ne t’aiment pas et d’autres qui ne peuvent plus avancer sans toi…
Celles qui t’aiment pour ce que tu fais et d’autres pour ce que tu es…


Celles qui te font souffrir et celles qui sont responsables de ton sourire…
Celles qui ne font que passer et d’autres qui te suivent sur ta lancée…
Celles qui t’oublient et d’autres qui font toujours partie de ta vie…
Celles qui ne t’aiment pas et celles qui t’aiment plus que tu ne le crois…
Celles qui font semblant et celles qui t’aiment vraiment…

Celles qui se plaignent pour rien et celles qui se battent jusqu’à la fin…
Celles que tu as vite oubliées et celles qui occupent tes pensées…
Celles qui sont fausses et celles qui t’aiment avec tes défauts…
Celles qui deviennent tes ennemis et celles qui sont vraiment tes amis…
Il y a elles, mais il y a VOUS!

Auteur inconnu
Publié par Martine Pelletier
Photos: libres de droits


Chaque ride...

À partir de la naissance, chaque visage est façonné par toute une vie de désirs refoulés, de tourments cachés, de mensonges entretenus, de cris contenus, de sanglots ravalés, de chagrins niés, d'orgueil blessé, de serments reniés, de vengeances caressées, de colères rentrées, de hontes bues, de fous rires réprimés, de monologues interrompus, de confidences trahies, de plaisirs trop vite survenus, d'extases trop vite évanouies.

Chaque ride en porte la marque aussi sûrement que les anneaux d'un arbre. C'est tout cela que le visage révèle de la personne, à son insu, malgré l'effort surhumain qu'elle déploie quotidiennement pour le cacher.

François Cheng
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Il y a les mots...

Il y a les mots ... Ceux que l'on a trop attendus... Ceux qui ne sont jamais venus... Ceux qui nous ont souvent déçus...

Il y a les mots... Ceux que l'on n'ose pas se dire... Ceux qui nous font parfois souffrir... Ceux que l'on cherche avant d'écrire...

Il y a les mots...Ceux que l'on glisse à son oreille... Ceux qui promettent un doux réveil... Ceux qui font briller le soleil...

Il y a les mots...Ceux que l'on entend certains soirs... Ceux qui nous soufflent un brin d'espoir.. Ceux qui colorent un jour trop noir...

Oui, il y a ces mots qui sont des vers et des chansons ...Qui sont teintés de doux frissons ...Qui sont nos cœurs à l'unisson...
Victor Hugo
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

L'essentiel

Être ailleurs quand on le veut, aucun passeport nécessaire, juste la faculté de se déconnecter, pour aller chercher la sérénité.

Être reconnecté à l'essentiel, loin de la horde humaine, juste un tête à tête avec soi même, pour chercher ses priorités. Être bien tout simplement, loin des certitudes des hommes, juste laisser sa pensée divaguer, pour éviter qu'elle ne soit attaquée par l'arthrose.

Quoi de pire que cette marée humaine, qui, atteinte de la pensée universelle, pense détenir ses vérités bien loin de la simplicité naturelle et combien plus précieuse que toutes ces fumées nauséabondes.

Jordan Ray
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Il faut...


Il faut du caractère pour se réinventer💙

Il faut de la résilience pour suivre sa voie
Il faut de la patience pour se réaliser
Il faut du courage pour rester authentique
Il faut de l’humilité pour apprendre de ses erreurs
Il faut de la sagesse pour accepter qu’on ne contrôle pas tout
Il faut de l’espoir pour avancer quand on ne voit rien
Il faut de l’amour pour être avec l’autre
Il faut de la compassion pour être avec soi
Quand on y arrive, on découvre toute la beauté de vivre.
Nicole Bordeleau.
Publié Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Et tu rêves

Elle n'en sort plus de ta mémoire

Ni la nuit, ni le jour
Elle danse derrière les brouillards
Et toi, tu cherches et tu cours
Mais y a pas d'amours sans histoires.
Et tu rêves, tu rêves
Qu'est-ce qu'elle aime, qu'est-ce qu'elle veut?
Et ces ombres qu'elle te dessine autour des yeux
Qu'est-ce qu'elle aime?
Qu'est-ce qu'elle rêve, qui elle voit?
Et ces cordes qu'elle t'enroule autour des bras
Qu'est-ce qu'elle aime?
Elle n'en sort plus de ta mémoire
Elle danse derrière les brouillards

Francis Cabrel 

Ta véritable image

Regarde en toi-même pour y rechercher la beauté et, si tu ne l'y trouve pas, imite le sculpteur qui, pour parfaire son oeuvre, la gratte, l'épure, la polit et lisse la matière jusqu'à ce qu'un beau visage apparaisse.

Comme lui, enlève en toi ce qui est inutile, corrige ce qui te paraît imparfait, efface en toi les zones d'ombre pour que la lumière transparaisse, ne cesse pas de sculpter ta propre statue jusqu'à la rendre manifeste et lumineuse.

Deviens cela, ton oeuvre propre, demande-toi si vit en toi un être pur, sans que rien d'étranger ne le trouble ou ne le dévore.

Et, si tu le découvres, c'est que tu es devenu la véritable image de toi-même, que tu t'es élevé tout en restant au💗du monde et que tu peux contempler, sans aucune aide, la vérité au fond de toi.

Plotin

Publié par Martine Pelletier

Photo: libre de droits


Plotin

Il meurt lentement...


Il meurt lentement

celui qui ne s'ouvre pas au monde,

celui qui ne lit pas,

celui qui n'écoute pas de musique,

celui qui ne sait pas trouver

grâce à ses yeux.

Il meurt lentement

celui qui détruit son amour-propre,

celui qui renie son enfance, son passé.

Il meurt lentement

celui qui devient esclave de l'habitude

refaisant tous les jours les mêmes chemins,

celui qui ne change jamais de repère,

Ne se risque jamais à changer la couleur

de ses vêtements

ou qui ne parle jamais à un inconnu.

Il meurt lentement

celui qui évite la passion

et son tourbillon d'émotions,

celles qui redonnent la lumière dans les yeux

et réparent les 💗 blessés.

Il meurt lentement

celui qui ne change pas de cap

lorsqu'il est malheureux

au travail ou en amour,

celui qui ne prend pas de risques

pour réaliser ses rêves,

celui qui, pas une seule fois dans sa vie,

n'a fui les conseils sensés.

Vis maintenant!

Risque-toi aujourd'hui!

Agis tout de suite!

Ne te laisse pas mourir lentement!

Ne te prive pas d'être heureux!

Pablo Neruda 

Publié par Martine Pelletier


Imaginer la souffrance

Ce qui rend les hommes insensibles, c’est l’absence d’imagination. On se représente par la douleur des autres, on n’imagine pas les souffrances des autres.

Dans les grandes catastrophes naturelles ou dans les guerres, si le cinéma bouleverse tant les âmes sensibles, et même celles qui ne le sont pas, en leur représentant les spectacles de l’horreur du monde, de la méchanceté des éléments et des hommes, c’est qu’ils entrent par effraction dans les imaginations assoupies.

Si l’on imaginait la souffrance avec assez de vivacité, on n’aurait plus le courage de faire du mal à personne.

Jean d'Ormesson
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits

Le trajet est si court




Une femme âgée est montée dans un bus et s'est assise. Au prochain arrêt, une jeune femme forte et grincheuse monta et s'assit brusquement à côté de la vieille, la frappant avec ses nombreux sacs.
Lorsqu'elle a vu que la vieille femme restait silencieuse, la jeune femme lui a demandé pourquoi elle ne s'était pas plainte lorsqu'elle l'avait frappée avec ses sacs.
La femme âgée a répondu avec un sourire: «Il n'est pas nécessaire d'être impoli ou de discuter de quelque chose d'aussi insignifiant, car mon voyage à côté de vous est si court parce que je vais descendre au prochain arrêt.»
Cette réponse mérite d'être écrite en lettres d'or: «Inutile de discuter de quelque chose d'aussi insignifiant, car notre voyage ensemble est trop court.»
Chacun de nous doit comprendre que notre temps dans ce monde est si court, que s'assombrir avec des luttes, des arguments inutiles, la jalousie, ne pas pardonner aux autres, le mécontentement et une attitude de découverte constante est une perte ridicule de temps et d'énergie.

Auteur inconnu
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Deux grands trésors

Malheureux l'homme qui ne sait pas qu'il possède deux grands trésors à l'intérieur de lui-même:

la clarté de l'esprit, qui peut le rendre libre, et la bonté du cœur, qui peut le rendre heureux.

Malheureux l'homme qui mène une existence semblable à celle des bêtes, enchaîné à ses instincts et seulement préoccupé des soucis matériels de la vie...
Frédéric Lenoir
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits

La vie est une route

La vie est une route.

Tu peux choisir de traîner les pieds,

de marcher sur le bas côté.

Tu peux choisir de suivre le troupeau,

sans lever le front.

Ou bien tu peux chercher ton propre chemin,

sans te soucier de celui

qu'on veut t'obliger à prendre.

Décider que nul autre ne peut marcher à ta place.

Henri Loevenbruc
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits

Aime ce que tu as

Un garçon offre à sa fiancé une poupée. Elle s'énerve, prend la poupée et la jette dans la rue. Son fiancé arrive et lui dit: Pourquoi as-tu jeté la poupée? Elle répond: Parce que je n'aime pas ton cadeau. Le jeune homme, avec tristesse, va dans la rue et ramasse la poupée. Une auto qui circulait, à grande vitesse le renverse, causant ainsi sa mort.

Le jour de l'enterrement, la fiancée en larmes, prend la poupée, la serre dans ses bras... Au moment où elle la serre dans ses bras, la poupée dit: Veux - tu te marier avec moi? Alors elle, impressionnée, laisse tomber la poupée, et de la poche de la poupée tombent deux alliances.

Leçon de vie: Aime tout simplement ce que tu as, avant que la vie, t'enseigne à aimer ce que tu as perdu..

Auteur inconnu

Publié par Martine Pelletier

Photos: libres de droits


Non à l'imitation

Donc, voici le premier impératif: gardons-nous bien de suivre, à la manière des moutons, le troupeau de ceux qui précèdent, en allant non pas vers où il faut aller, mais simplement où vont les autres.

Car rien n'entraîne à de plus grands malheurs que de se conformer à la rumeur publique, en estimant que les meilleurs choix sont ceux du plus grand nombre, de se laisser conduire par la multiplicité des exemples.

Cela parce que nous vivons, non d'après la raison, mais dans un esprit d'imitation.

Sénèque
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits

Un câlin à la petite fille

Un câlin à la petite fille que j'ai été, timide et peu sûre d'elle.

À cette enfant délicate et sensible qui pleurait, souffrait, se sentait seule.

Un câlin à la femme que je suis devenue, têtue et imparfaite, une guerrière au cœur toujours trop ouvert.

À la femme qui essaie de se pardonner et qui ne cesse de rêver.
Pour la femme que je suis, pour mes victoires et mes défaites, pour tout l'amour que j'ai à l'intérieur. Pour toutes les fois où je me suis levée, pour tous les monstres que j'ai vaincus.

Un câlin à la petite fille que je suis toujours et que je serai toujours, avec des contes de fées dans mon cœur et mille rêves dans mes yeux.
Chiara Trabalza
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits


Seuls avec nos souvenirs

Chacun de nous a des souvenirs secrets et merveilleux qui remontent à son enfance, à sa jeunesse ou même à son âge adulte.

Ce sont des brides du passé qui nous sont particulièrement chères: une journée d'été, un bord de mer, les paroles ou le silence d'une personne aimée.

Dans la vie réelle, il n'en reste rien. Les protagonistes jeunes ou vieux, sont morts ou devenus méconnaissables.

La maison a brûlé, le jardin a été détruit, le lieu a changé trois fois de nom, la végétation l'a envahi ou bien on y a creusé un lac artificiel.

Nous sommes seuls avec nos souvenirs, comme dans un rêve!

Mon extrait préféré

Nina Berberova
Publié par Martine Pelletier
Photo: choix de Martine et libre de droits

Devenir grand

Ceux qui sont destinés à devenir grand,

sont caractérisés par la patience.
Ils sont forgés par les épreuves.
Leurs racines se fortifient dans le secret.
Le silence les construit,
et ils apprennent dans l'humilité,
souvent même dans l'humiliation.
Mais, quand vient leur temps,
ils sortent non pas comme des lionceaux,
mais comme des lions!
Mon extrait préféré

Sagesse Africaine
Publié par Martine Pelletier
Photo: choix de Martine et libre de droits