Je cherchais un médicament pour guérir la tristesse.
J'ai respiré profondément.
J'ai senti le soin du soleil pour me caresser le visage.
J'ai senti le soin du vent en embrassant mon âme.
J'ai entendu le soin de l'eau qui rendait cristallin mon regard.
J'ai senti la vie elle-même palpiter dans mes veines.
Comment ne pas t'aimer, mère Terre,
Si malgré les blessures, tu n'arrêtes jamais de me guérir
avec ta médecine d'amour inconditionnel.
Sœur Aigle
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits
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