Le soleil se couchant sur le fleuve est captivant
Sa surprenante magie opère encore et encore
L'oiseau marin épris de liberté rêve d'être un condor
Ses ailes sont des cheveux de feu que fouette le vent
Au large, se retrouve un grand silence émouvant
L'astre doré se blottira bientôt bien à l'abri
Dans les bras de la mer, sous un ciel cramoisi
Laissant l'horizon nous éblouir avec enchantement
Comment ne pas admirer cet artiste de génie
Qui vient faire son lit dans Sa Majesté, la mer
Sa trace qu'il laisse derrière lui, nous éblouit
C'est sans contredit la porte vers le paradis.
Publié par Martine Pelletier (auteure)
Photo montage: Martine Pelletier

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