On ne se méfie jamais assez,
des êtres qui semblent tout accepter,
tout supporter en silence,
et parfois même en souriant.
Leur soumission paraît sans limite,
Puis un jour... ils quittent le jeu,
tournent les talons,
claquent une porte,
et c’est définitif.
On ne peut plus rien pour les retenir.
Intérieurement, ils ont fait tout le chemin,
bloqué les comptes.
Ils ne sont presque déjà plus là,
quand ils annoncent qu’ils vont partir.
Fanny Ardant sur Silence, Rien et Jour
Publié par Martine Pelletier
Photo: mon choix et libre de droits
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