On t'a appelé le mouton noir
Pas parce que tu avais tort, mais parce que tu étais différent.
Tandis que le troupeau suivait le chemin sans poser de questions, toi, tu t’es arrêté.
Tu as levé les yeux.
Écouté le vent.
Et, murmuré: « Il doit certainement exister un autre chemin. »
Le mouton noir ne se fond pas dans la masse.
Non pas parce qu’il ne le peut pas…
Mais, parce qu’il ne le veut pas.
Il a vu trop de falaises déguisées en traditions.
Trop de cages appelées « normalité ».
Alors, il s’écarte.
Peut-être seul.
Pourtant éveillé.
Il dérange.
Il fait des vagues.
Il brise le silence.
Et, parfois, il construit les ponts dont le troupeau ne soupçonnait même pas le besoin.
À tous les moutons noirs:
Vous êtes la révolution silencieuse.
La rupture dans le schéma.
La note sauvage dans le chœur.
Vous n’avez pas à rentrer dans le moule.
Vous êtes né(e) pour vous démarquer, et ouvrir la voie.
Publié par Martine Pelletier
Source: Recettes et récits
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