Helen Mirren, actrice, a dit un jour:
À 70 ans, si je pouvais donner un seul conseil à la jeune femme que j’étais, ce serait d’utiliser les mots « va voir ailleurs, si j'y suis » bien plus souvent.
Je suis heureuse de vous présenter mon blog et de vous faire naviguer dans mon univers littéraire avec comme toile de fond, les nombreuses passions qui m'animent: histoires vraies, poésie, contes, légendes, photographie, créations, lecture, cuisine, musique, mode, décoration, animaux, horticulture, jardin, société, humour, patrimoine et histoire de ma vie et bien des surprises. Bienvenue et je vous souhaite un fabuleux voyage dans mes vents et marées littéraires !
Helen Mirren, actrice, a dit un jour:
À 70 ans, si je pouvais donner un seul conseil à la jeune femme que j’étais, ce serait d’utiliser les mots « va voir ailleurs, si j'y suis » bien plus souvent.
C'est avec une immense fierté que je vous présente ma collection photos (troisième édition) de mes plus harmonieux couchers de soleil 2025.
Les soleils couchants de notre fantastique coin de pays n'ont rien à envier au reste du monde. Ils sont uniques, car ils ont comme toile de fond le majestueux fleuve Saint-Laurent.
Que demander de plus comme harmonieux spectacle que d'observer monsieur le Soleil se blottir tout doucement dans les bras de la mer. Un tableau digne de la création de grands maîtres.
Je vous invite au spectacle, le tout bercé par la mélodie: A Love Beautiful. Agréable visionnement.
Publié par Martine Pelletier
Elle fait un travail remarquable pour nous, elle connaît parfaitement son rôle. Elle est l'artisane hors pair de ce qu'elle nous donne gratuitement pour toute la beauté qui nous entoure. Cette experte sait ce qu'elle doit faire, car elle en est l'artiste.
Je vous présente un texte du jardinier paresseux, monsieur Larry Hodgson, décédé en 2022. Il nous laisse un héritage des plus marquants grâce à ses chroniques sur l'horticulture et sa passion pour la nature.
Il n’est pas nécessaire de «faire le ménage» de vos vivaces à l’automne. En effet, cette tradition de couper les plantes au sol à la fin de l’automne est non seulement inutile, mais supprimer les feuilles fanées est même néfaste pour les végétaux rustiques.
Au contraire, ces plantes repoussent mieux si on laisse leur feuillage mourant en place tout l’hiver.
C’est que, d’un côté, les feuilles mortes aident à protéger le plant non seulement contre le froid, mais surtout contre les soubresauts de température: elles sont un isolant naturel.
De plus, rappelez-vous un détail qu’on ne souligne jamais assez : le meilleur engrais pour toute plante est son propre feuillage. Ses feuilles contiennent exactement les minéraux qu’il lui faut pour bien pousser et fleurir. Mère Nature a donc prévu un merveilleux système où les vieilles feuilles meurent, mais restent sur place pour nourrir la plante l’année suivante.
Pourquoi les jardiniers pensent-ils qu’ils savent mieux faire que mère Nature? Si vous enlevez les feuilles mortes, vous devrez les remplacer par un engrais l’an prochain, sinon la plante manquera de minéraux. Vous viendrez donc de vous donner du travail pour rien.
Évidemment, certains jardiniers vous diront qu’ils font le ménage à l’automne pour ne pas avoir à le faire au printemps, qu’il est plus agréable de ramasser des feuilles relativement sèches (automne) que des feuilles détrempées par un long hiver sous la neige (printemps)… mais c’est signe qu’ils ne comprennent toujours pas mère Nature.
Il n’est tout simplement jamais nécessaire de ramasser les feuilles mortes, que ce soit à l’automne ou au printemps!
Les feuilles de vos vivaces se décomposent pendant l’hiver. Elles ne sont plus là au printemps. Si oui, elles sont dans un état de décomposition tellement avancé que si vous laissez faire, la décomposition se complétera d’elle-même avant l’été.
Tout ce qu’il reste à «ramasser» au printemps (et seulement sur certaines vivaces), ce sont les tiges florales brunies. Elles ont, dans plusieurs cas, nourri les oiseaux tout l’hiver, mais ce rôle est terminé au printemps.
Par conséquent, tôt au printemps, si ces tiges encore debout vous dérangent, cassez-les au pied. Déposez-les au sol au pied de la plante où elles continueront leur rôle de nourrir la plante mère et disparaîtront d’elles-mêmes durant l'été.
De plus, souvent, les insectes bénéfiques élisent domicile dans les tiges creuses des vivaces pendant l’hiver. Si vous les enlevez à l’automne, c’est comme une invitation ouverte aux insectes indésirables de s’installer dans votre jardin.
Laissez les tiges se décomposer sur place. Les insectes bénéfiques seront déjà présents quand les insectes méchants se réveilleront au printemps.
En conclusion, faire le ménage des vivaces, c’est une pure perte de temps et c’est même nuisible. Alors, pourquoi le faire? Vive la paresse automnale!
Le vivre une seule fois, c'est l'adopter, parole de Martine, jardinière en herbe. Bel automne coloré à vous tous.🍁🍂🍁
Larry Hodgson
Publié par Martine Pelletier
Les soleils couchants de notre fantastique coin de pays n'ont rien à envier au reste du monde. Ils sont uniques, car ils ont comme toile de fond le majestueux fleuve Saint-Laurent.
Que demander de plus comme harmonieux spectacle d'observer monsieur le Soleil se blottir tout doucement dans les bras de la mer. Un tableau digne de création de grand maître.
Je vous invite au spectacle, le tout bercé par la musique de Gary Moore, à la guitare. Agréable visionnement.
Publié par Martine Pelletier
Je t'ai vu, bel oiseau, au plumage nocturne
Non, tu n'es pas calamité ou infortune
Tes yeux semblables à des perles sombres
Ne sont surtout pas synonymes de pénombre
Fièrement, tu observais les vagues déferler
Se brisant férocement sur les noirs rochers
Te tenant droit comme un fier guerrier
En cet après-midi, d'impressionnante marée
Oui, tu es le messager des vents imprévisibles
Tu voyages à travers les quatre saisons, invincible
Et, ton vol est un ballet de mille lumières
Que tu sais si bien démontrer dans les airs
Ainsi, tu es l'emblème de la force impénétrable
D'une profondeur antique, courage admirable
Non, tu n'es pas ce supposé prophète de malheur
Même si ton chant est austère, il est douceur
Il dévoile la vie dans son implacable cruauté
Le monde vrai, sans artifices, sans supériorité
Ô corneille, même si tu es ce volatile mal aimé
Tout l'univers se doit grandement de te respecter.
Publié par Martine Pelletier (auteure)
https://lesmerveillesdesirena.blogspot.com/2025/08/une-rencontre-au-sommet.html
Photos: Martine Pelletier
J'ai regardé ce vaste horizon
Juste à l'instant où le jour finit
Si majestueux, j'en étais éblouie
Divin comme une douce chanson
Figée dans ce moment, sans voix
Vivre cet instant de grand émoi
Savourer cet intermède d'éternité
Tout ce décor pour m'ensorceler
Quelle absolue, unique merveille
Ce panorama grandiose du soleil
Aucune parole, ni aucun pinceau
Ne peut décrire ce parfait tableau
Nous regardions vers l'an deux-mille, pleins de rêves et d'espoirs. Nous étions des enfants et le futur était rempli de promesses merveilleuses. Voitures volantes, maladies vaincues, pauvreté éradiquée...
La science et la technologie devaient rendre le monde plus beau. Fantasmes enfantins... mais au moins, nous rêvions.
La vie naît de ces jours qui flamboient comme un dernier soleil