lundi 31 mars 2025

Ce temps qui passe

On dit que le temps arrange tout, il suffit de l'attendre.

Mais, qu'il est donc lent, le temps de l'attente.

L'attente de l'ami, qu'on n'a pas vu depuis longtemps.

L'attente des secours, quand survient l'accident.

L'attente de la guérison, quand s'éternise la souffrance.

L'attente du soleil, quand tarde le printemps.

L'attente de la compassion, quand dure l'indifférence.

L'attente du pardon, pour une lointaine offense.

Pourtant, il suffit qu'on l'oublie, le temps.

Quand arrive l'ami qu'on attendait depuis longtemps.

Que se réveillent les souvenirs d'antan.

Et, qu'on déroule les histoires du bon vieux temps.

Il en profite pour nous échapper et galoper, le temps.

Et, quand vient le temps d'aller voir où en est le temps, on s'aperçoit qu'il a filé comme le vent, le temps.

Et, qu'on ne peut le rattraper, le temps.

On a parfois envie de l'emprisonner dans les bons moments.

Mais, lent ou rapide, on ne peut pas l'arrêter de passer, le temps.

Puis quand vient le temps de disposer de notre temps, on voudrait arrêter, afin de regarder passer le temps.

Mais, on se lasse vite à ne faire que regarder passer le temps.

Alors, on proposera à un ami, à qui il ne reste que peu de temps, de l'accompagner jusqu'au bout de son temps.

On répondra à l'enfant qui nous demande un peu de temps, que pour lui, on a tout notre temps.

En espérant que, quand il ne nous restera que peu de temps, quelqu'un aura pour nous, un peu de temps.

Martial Nouveau
Publié par Martine Pelletier

Mes monorimes: Martine


Comme vous l'avez deviné, mon nom est Martine 

Durant mon enfance, on me surnommait Tartine

Malgré le nombre d'années en sourdine

Je me considère comme une jeune blondine

Préférant la liberté à la discipline

Puisque personne ne me domine

Je n'ai jamais fumé de nicotine

Ne raffole aucunement des sardines

Jamais dégusté non plus d'aubergine

Juste des fruits, débordants de vitamines

J'adore faire de la poésie câline 

Des rimes qui toujours illuminent

Comme quand j'écrivais, étant gamine

On me dit un peu sauvagine

Comme une vraie colombine

Et, parfois, haut et fort, je fulmine

Car, les injustices me chagrinent

En désaccord avec ceux qui baratinent

Je ne suis absolument pas mesquine

Ceux que j'aime, avec joie, je les voisine

Souvent dans la nature, je jardine

Et, de bonheur, je cavatine

En regardant les abeilles qui butinent

Allègrement sur les magnifiques capucines

Caressant au passage leurs douces étamines

Ainsi, elles ressemblent à de joyeuses libertines

J'adore faire de la délicieuse cuisine

Même si cela est une simple routine

Cela évite de se rendre souvent à la cantine

Pour déguster une savoureuse poutine

Avec la musique, je ne suis pas une figurine

En entendant des mélodies, je me dandine

Surtout celles qui sont à saveur latine

Accompagnée, de ma brigade canine

Qui parfois d'excitation, me piétinent

Sans oublier mon escouade féline

Avec leurs tendres ronrons qui dominent

Je ne conduis pas une luxueuse berline

En Camaro, je monte aisément les collines

Mon idole est la ravissante Marilyn

Alors, je la trouve tellement divine

Avec ses cheveux couleur platine

Lorsque je la vois dans les magazines

Depuis toujours, elle me fascine

Comme elle, j'aime porter des crinolines

La mode rétro est tellement coquine

Porter des robes à motifs de lapines

Décorées de douce brillantine

Fabriquées par des créateurs en Chine

Même si souvent, on me taquine

Je me sens comme une vraie arlequine

Car, je suis vraiment féminine

Je ne possède pas de grande piscine

J'adore me baigner avec la brise marine

Et, je respecte mes racines

Tout en saluant mes origines

Je profite de la baignade dans les eaux salines

Cela me donne toujours une excellente mine

On me surnomme la sirène de mer, imagine

Mais, je n'ai certes pas l'allure d'une dauphine

Comme un délicieux plat, ce titre me festine

Mais, je reste toujours superfine

Et, douce comme de la mousseline

Pour les personnes qui me taquinent

Pour elles, je suis la vraie de vraie Martine.

Publié par Martine Pelletier



Jamais, ils ne diront...



Jamais, ils ne diront ce que vous avez fait pour eux.

Ils n'ont la langue pendue que pour vous inventer des vies, vous salir et vous critiquer... 

Comme ils savent se taire pour ce que vous aviez souvent fait à leur avantage et pour toutes les fois que vous aviez été là pour eux... 

Une conscience sélective et c'est la spécialité de tous les ingrats.

N.B. Des mots qui frappent fort, mais combien teintés d'une énorme vérité. Je l'ai vécu et combien d'entre vous l'avez vécu ou vivez encore. 

C'est en ces moments désolants que je monte aux barricades pour dénoncer ces injustices de grand nombrilisme. 

Peu importe les mécontentements de mes écrits. Comme je dis habituellement pour continuer de sourire à la vie: Amen, mes culottes sont pleines...

Courage aux personnes, qui ont subi des ingratitudes de la part de personnes en qui vous aviez donné toute votre confiance. 

Souvenez-vous toujours, que ceux, qui ne nous tuent pas, nous rendent encore plus forts.

Eric Emmanuel Van Brussel
Photo: mon choix et libre de droits
Publié par Martine Pelletier




Être poli avec la vie


Le jour où je disparaîtrai, j'aurai été en harmonie avec la vie puisque je l'aurai bien appréciée et grandement respectée.

Je n'ai jamais considéré comme chose négligeable l'odeur des lilas, le bruit du vent dans les feuilles, le bruit du ressac sur le sable lorsque la mer est calme, le clapotis.

Tous ces moments que nous donne la nature, je les ai aimés, chéris, choyés. Je suis poli, voilà. Ils font partie de mes promenades et de mes étonnements heureux sans cesse renouvelés.

Le passé, c'est bien, mais l'exaltation du présent, c'est une façon de se tenir, un devoir. Dans notre civilisation, on maltraite le présent, on est sans cesse tendu vers ce que l'on voudrait avoir, on ne s'émerveille plus de ce que l'on a. On se plaint de ce que l'on voudrait avoir.

Drôle de mentalité! Se contenter, ce n'est pas péjoratif. Revenir au bonheur de ce que l'on a, c'est un savoir-vivre.

Chaque phase de ce merveilleux texte me rejoint à 100%. C'est comme si je vous le partageais.

Pourquoi ne pas se contenter de simples fleurs naturelles de notre jardin, au lieu de lorgner dans le triste jardin des autres, bien souvent abritant des fleurs artificielles?

Olivier de Kersauson
Publié par Martine Pelletier
Photo: Martine Pelletier

Capsule mode (4)


                   Robe de la nature (collection robes perlées)

Tout le monde a spontanément une préférence marquée pour certaines couleurs. En grandissant, nous perdons notre sens des couleurs personnelles et nous achetons des vêtements d'une certaine couleur, pour des raisons qui n'ont rien à voir avec l'air qu'ils nous donnent.

Nous sommes bombardés par des messages influenceurs du monde de la mode et de la décoration intérieure qui savent à la perfection utiliser tous les moyens à leur disposition pour rendre populaires au plus haut point les teintes qu'ils veulent vendre. 

Il faut cependant tenir bon (au goût du jour, épuré: des mots que je suis tannée d'entendre à la télévision), car la nature et notre personnalité a généralement raison de tout ce qu'ils proposent. 

Dites-vous bien qu'il y a beaucoup de chance que la moitié de vos vêtements soient de votre palette de couleurs.

Ce sont ceux avec lesquels vous vous sentez bien. Et, je parie que vous savez déjà lesquels. Puisque la couleur fait tout.

En gardant aussi en tête que l'élégance, c'est au-dedans de soi qu'on la possède.

D'après: Votre beauté (Carole Jackson)

colorwise.me

Publié par Martine Pelletier

Photo: Martine Pelletier

dimanche 30 mars 2025

Vivre en harmonie en Gaspésie

Bien au-delà du temps qui se délie

Il y aura toujours notre chère Gaspésie

Avec sa vaste mer comme mélodie

Et, ses vagues jouant gaiement la comédie

Qui viennent caresser le rivage avec euphorie

Se mêlant aux vents avec un brin de polissonnerie

Tout un spectacle pour les yeux, garanti


Et, ces oiseaux qui ne sont pas des apprentis

Exécutent dans le ciel de superbes acrobaties

Ils sont certes les rois de la fantaisie

Tout en les observant, de bonheur, on s'extasie

Comme on regarde un tableau qu'on apprécie


Notre Gaspésie, ce sont aussi ses montagnes réunies

Qui nous font sentir presque démunis

Mais, qui, sans le savoir, nous donnent de l'énergie

Pour aller toujours plus haut, presque à l'infini

Afin de vivre encore plus forts dans ce pays d'ici


Et, que dire de ses forêts aux changeants coloris 

Qui nous plongent dans des nuances de nostalgie

Pour nous faire apprécier les saisons et leur poésie

Savourer tous ces moments de douce flânerie

Même dans ce pays de neige et de poudrerie 


Et, le soir venu, l'horizon se couvrant de folie

Tout en préservant sa douce modestie

Avec sa teinte de couleur violet cramoisi

Ses couchers du soleil imprégnés de coquetterie

Qui nous laissent toujours ébahis

Immortalisés un instant par la photographie

Que l'on garde pour soi ou qu'on publie

Pour partager ces indéniables moments de la vie 


Se dire aussi qu'on ne connaît pas la mélancolie

Lorsqu'on décide de prendre pays

Et, de vivre harmonieusement en Gaspésie.

Écrit et publié par Martine Pelletier (auteure)





Rendez-vous doux avec la vie


J'ai un rendez-vous doux avec la vie

Cette vie merveilleuse qui me sourit

Qui m'enchante en prenant son temps

Comme on attend un sublime printemps

Sur les sentiers et tous les chemins

Elle est courtisane d'un immense bonheur

Tendrement, elle me conduira vers d'autres ailleurs

Vers d'incontournables et lumineux lendemains

Pour me faire découvrir à sa guise

Des horizons lointains peuplés de surprises

Riches et harmonieux du devenir

Comme des présents brillants d'avenir

Par-delà les saisons et les marées

En saluant gaiement les grands vents de l'est

Je resterai toujours la douce poétesse

De vos matins teintés d'onde parfumée

Si mes rimes vous ont donné un frisson d'espoir

Maquillez délicatement vos yeux d'étincelles

Pour que votre âme miroir

Soit teinté de brillantes ritournelles.

Publié par Martine Pelletier (auteure)

Photos: Martine Pelletier




De la terre à la mer: notre Gaspésie


                           Baie-des-Sables (en Gaspésie)

Sublime Gaspésie adorée

Nous sommes nés de tes paysages enchantés

De tes matins tranquilles puisés dans tes contrées sauvages

De ton coeur nostalgique et ardent 

Qui tourne avec les vents mordants du large

Dans un tourbillon de marées d'enchantement

Vents d'ailes parfumés et de vagues aux reflets bleutés

Qui nous apaisent durant l'été

Et, qui nous aveuglent de ses hivers frileux

De ton territoire de mille ans victorieux

Qui nous invite allègrement aux voyages

Avec ton incontournable fleuve Saint-Laurent

À la saveur du temps passé et présent

Tu vois passer tant de saisons

Et, de nombreux jours vagabonds

Des matins tranquilles aux brises libertines

À nos oreilles comme de merveilleuses sourdines

De tes ancêtres passionnés qui ont pris racines

Dans l'immensité de tes fabuleux paysages

Que tu nous lègues précieusement en héritage

Tu as fait de nous ce que nous sommes aujourd'hui

Des gens simples imprégnés de ténacité 

Avec un goût immuable pour la chère liberté

Qui par la fenêtre imaginaire de la vie

Louangent le savoureux bonheur de vivre ici

Dans notre fantastique Gaspésie

Un vrai coin d'unique pays

Aux effluves marines teintés de douce poésie.

Publiée par Martine Pelletier (auteure)







Sauveur de l'onde


          Le phare de Borgot (Îles-de-la-Madeleine)

C'est un de ces nombreux phares

Ressemblant à un nénuphar

Trônant la nuit au clair de lune

Tel un roi, près des dunes

Promesse bien dirigée

De sa sentinelle élancée

Pour ces chevaliers des mers

Bravant les nuits noires 

Que rien n'éclaire

Gardant la foi et l'espoir

Avant qu'au ciel, une étoile reluit

Sa fidèle lumière de phare

Projette des signaux de cristal

Afin qu'aucun marin ne s'égare

Pour enfin apercevoir le littoral

Et, affirmer en toute modestie

Que le sauveur de l'onde, c'est lui.

Par Martine Pelletier (auteure)

Photo: Patrick Matte






 

De quel droit?


Les mots espèces nuisibles et mauvaises herbes ne sont que le reflet d'un préjugé séculairement ancré, selon lequel les plantes et les animaux sont là pour nous servir ou nous réjouir, et que nous avons sur eux un droit discrétionnaire. 

Ces mots sont la traduction directe de notre égocentrisme, de notre ignorance et de notre étroitesse d'esprit. 

Les animaux considérés comme nuisibles ne le sont que par nous, et il en est de même des herbes prétendues mauvaises.

En réalité, nous ne sommes qu'une espèce parmi tant d'autres. 

Ajoutons, en passant, que, face aux extinctions multipliées d'espèces dont nous sommes aujourd'hui responsables, nous mériterions, seuls, le qualificatif d'espèce hautement nuisible à l'harmonie et à la préservation de la biodiversité.

Hubert Reeves

Publié par Martine Pelletier

Photos: libres de droits



Capsule mode (3)

                            💙Robe de la mer (collection robes perlées) 💙                   

La femme AUTOMNE vibre tout naturellement lorsqu'elle est entourée de couleurs chaudes et riches, aux tons dorés, francs et colorés comme les feuilles d'automne. 

La femme PRINTEMPS s'épanouit parmi les teintes claires et très délicates comme des demi-tons de jaune, chaleureux à souhait comme la première jonquille qui s'ouvre gentiment aux premiers jours printaniers. 

La femme HIVER est étincelante lorsque son teint est rehaussé par des teintes claires, pures, froides, glacées qui font penser à un brillant flocon de neige. 

Et, la femme ÉTÉ scintille de mille feux avec les pastels de juin, les tons doux de la mer et du ciel, leurs demi-tons de bleu si frais qui nous en mettent plein la vue. 

D'après: Votre beauté en couleurs (Carole Jackson)
colorwise.me
Publié par Martine Pelletier
Photo: Martine Pelletier


Petit intermède canin

Si avoir une âme signifie être capable

de ressentir l'amour,

la loyauté et la gratitude,

alors les animaux sont mieux lotis

que beaucoup d'êtres humains.

James Herriot
Publié par Martine Pelletier
Photo: Martine Pelletier

Prière du chat


Ô mon maître, ne me prends pas pour esclave

J'ai au fond de moi, la passion pour la liberté

Ne cherche pas à découvrir mes profonds secrets

J'ai en moi, la profondeur du mystère 

Surtout, ne cherche jamais à m'humilier 

Puisque je porte en moi le goût de la fierté

Je t'en supplie, ne m'abandonne pas

Malgré mon esprit canin, j'ai le goût de la fidélité

Ne m'oblige pas aux nombreuses caresses

Car, je porte en moi, le goût de la pudeur

Sache me respecter et je saurai t'aimer

Au plus profond de moi, se cache la saveur de l'amitié.

Publié par Martine Pelletier

Photo: Martine Pelletier


Poème canin


C'est moi, je t'attends toujours.

Ta voiture a un son spécial, que j'ai imprimé sur mes sens, je le reconnais en mille.

Tes pas ont une cloche magique.

Ta voix est de la musique pour mes oreilles.

Si je vois ta joie, ça me rend heureux!

Ton parfum est le meilleur.

Ta présence fait bouger mes sens.

Ton réveil matinal me réveille.

Je te contemple dormir et pour moi, tu es mon Dieu, je suis heureux de regarder ton sommeil.

Ton regard est un rayon de lumière.

Tes mains sur moi, détiennent la légèreté de la paix et la sublime démonstration de l'amour infini.

Quand tu pars, je sens un vide énorme dans mon cœur.

Je n'arrête pas de t'attendre encore et encore.

C'est moi, qui t'attendrai toute ta vie, aujourd'hui, demain et pour toujours.

Je suis ton chien.💗Et quel immense bonheur!💗

Publié par Martine Pelletier
Photo de Lili-Rose par Martine Pelletier

Les animaux et le Karma




Ce sont les animaux qui choisissent d'entrer dans notre vie. Ils font partie de notre karma et nous du leur.

Parfois, ils se font trouver abandonnés ou errants, au milieu d'une route ou en danger, au cœur de la nuit ; d'autres fois, ils se font trouver devant la porte de la maison, comme envoyés par le destin ; d'autres fois, ils arrivent de personnes aimées, voisines ou inconnues.

Dans tous les cas, les animaux étaient déjà dans notre karma. Dans cette vie, comme dans les autres.

Selon Brian Weiss, il est fréquent que le même animal s'incarne plusieurs fois durant notre vie, en changeant simplement de forme et pelage, et en se faisant reconnaître par de petits gestes, détails et subtiles habitudes. Cela, on le voit bien souvent avec les chats.

Vous pouvez me croire, au nombre de chats que j'ai accueillis, plusieurs sont revenus une deuxième fois et même une troisième fois.

Quand un "nouvel" animal entre dans notre maison et sait parfaitement où aller, c'est un signe qu'il dit simplement: je suis de retour. Un en particulier nommé: Fripon et ensuite Mucho. Il était revenu avec le même pelage et surtout avec sa personnalité bien conservée. J'ai vu cela aussi avec plusieurs chats noirs, c'était vraiment surprenant.

Plusieurs personnes, au moment de mourir, reçoivent la vision tranquillisante, non pas d'un parent déjà décédé, mais plutôt d'un animal. Cela signifie beaucoup. Parce que pour notre âme, aucune différence n'existe entre une espèce et une autre.

Les animaux sont dans notre chemin d'évolution comme nous dans le leur, pour ce motif, on se doit de les respecter, comme étant des créatures sacrées et en prendre le plus grand soin.

Ils font partie de nous, dans une différente forme de l'univers.

Publié par Martine Pelletier

Présenter Claude Dubois avec les mots de Claude Dubois


Il est né un jour de printemps. Il a grandi dans un logement bien chauffé, où il a si bien gelé, les rats dans l’escalier prenaient leur déjeuner. Il en a mangé des sandwichs à la moutarde, du baloney pis d’la tête fromagée, mais il avait besoin pour vivre de légumes et de fruits. Et surtout de chanter, en frappant dans ses mains, pas sus l’voisin.
Il ne peut pas vivre sans être aimé. Femme de rêve, femme d’espoir heureux, il est infidèle, la musique l’appelle, l’amour l’envahit. Il part en voyage, il déménage quelque part.
À force de rester dans la forêt à s’ennuyer, le diable est venu le tenter. Les accrochages de Mercedes, parait que ça coûte la peau des fesses. Il s’est fait mal en tombant, mais il s’est relevé tout le temps.
Si Dieu existe, il l’aime comme on l’aime, comme un fou, comme un sage. Fadeli deli de twip twidi deli didou!
Il fait partie des six auteurs-compositeurs-interprètes qui ont fondé la chanson québécoise avec Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Claude Léveillée, Jean-Pierre Ferland et Robert Charlebois.

On peut s’obstiner longtemps, à savoir lequel parmi ces six géants est le meilleur parolier ou le meilleur compositeur, mais si on se demande, lequel a le plus de voix, il n’y a pas débat, c’est Claude Dubois. Pas juste parmi les six, parmi tous les chanteurs du Québec.
Stéphane Laporte
Publié par Martine Pelletier


Impressionnants décors (1)


 Des sirènes, un bassin d'eau et des couleurs joyeuses!


 Beaucoup de ronrons garantis dans ce lit tout douillet

         La vie rêvée dans une somptueuse nature


             Pour un voyage coloré au pays des félins


             Un décor unique loin du modernisme

Publié par Martine Pelletier
Présentations: Martine Pelletier


Ma belle amie Lucy


Elle était de ces êtres qui passent la porte de votre cœur sans que vous vous en aperceviez.

Un de ces êtres qui vous pénètre au plus profond et s'y aménage un espace pour ne plus jamais vous quitter.

Elle était de ces êtres qui entrent dans votre vie sans un coup de semonce et la change à tout jamais.

Elle était de ces êtres qui viennent lorsque vous vous y attendez le moins et qui vous apporte la lumière dans votre obscurité.

Elle était de ces êtres dont l'âme est un refuge de douceur, de chaleur et de bienveillance.

Elle était de ces êtres qui, une fois que vous les avez rencontrés, vous ne pouvez plus jamais les oublier...

Merci pour toutes ces années passées en duo, avec toi, ma belle amie, Lucy, à exercer la plus merveilleuse profession au monde: l'enseignement.

On se complétait tellement bien dans tous nos projets fous de spectacles. La musique, la danse et le théâtre étaient au rendez-vous de nos rituels scolaires annuels. Que de bonheur et de vent dans les voiles prodigués à nos chers élèves!

Partie trop tôt, à l'âge de 53 ans, il y a dix-neuf ans déjà, tu as toujours une place de choix dans mon 💗.

Publié par Martine Pelletier