jeudi 30 janvier 2025

La rose noire



La rose noire, également connue sous le nom de rose royale,  pousse uniquement dans un seul endroit dans le monde entier, dans la région de Halfeti, une ville montagneuse en Turquie. 

C'est l'une des roses les plus rares au monde, car elle est la seule à avoir une couleur noire. De plus, son parfum est vraiment remarquable.

Il est important de noter qu'il s'agit d'une rose naturelle et non artificielle, et la Turquie est célèbre pour la culture de fleurs d'ornement.

Pour ma part, je la trouve magnifique et très mystérieuse. Sa texture ressemble à du velours noir. Elle donne l'apparence de douceur.

Publié par Martine Pelletier

mardi 28 janvier 2025

Le bonheur: c'est chez soi, pas ailleurs




Je crois dur comme fer que les plus durables valeurs de la vie se trouvent enfouies entre nos propres murs. 

Comme bien des personnes, étant plus jeune, je pensais que la vie n'était époustouflante qu'à travers les soirées tardives, les réunions familiales souvent caractérisées par des gestes artificiels, des paroles déguisées et des voyages... Juste pour dire qu'on est allé voir ailleurs, et le clamer haut et fort. Bref, tout ce qui est extérieur à notre petit nid bien paisible. 

On s'aperçoit, en y pensant bien, que tout ce tralala appartient uniquement au monde de la fantaisie. Oui, on a certes des anecdotes à raconter, l'espace d'un moment, des photos perdues au fond des tiroirs ou dans les méandres informatiques de l'oubli. 


Tout cela, qu'en reste-t-il vraiment? Le temps passe. On en veut encore, on se dit: ce doit être plus beau, là-bas. Ainsi, on repart encore une fois. On oublie pour mieux repartir. Comme dans la chanson: Quand on s'en va, le 💗 oublie.

Ce qui ne s'oublie pas, toutefois, ce sont les moments durables, essentiels, et non ceux qui passent comme des feux de paille.

Le vrai bonheur d'exister, pour commencer, on le retrouve chez soi, entre nos murs, qui s'imprègnent de notre personnalité et de cette odeur magique de liberté, qu'il est impossible de retrouver ailleurs, même en y croyant réellement. Mais, chacun a le choix de vivre et d'interpréter son quotidien à sa manière. 

Un jour ou l'autre, on place l'ancre de sa vie, près d'un rivage favorable, et on y reste, pour mieux scruter l'horizon, qui s'ouvre, grandiose, devant nous. C'est à ce moment-là que l'on comprend complètement l'importance de bien naviguer, de ce qu'il nous reste à vivre, sur le voilier de notre vie. 

Les réels voyages sont ceux que l'on passe avec soi-même, avec simplement notre boussole de vie et notre seule carte d'identité.

Avec la complicité d'un être cher, la présence fidèle de mes animaux, la vue imprenable sur le fleuve, ma passion pour la créativité, cela suffit amplement à mon petit bonheur. En demander plus, ce serait fausser mes valeurs de vie.

Je n'ai aucunement besoin d'un faste limité dans le temps, lorsque ma vie s'écoule calmement au gré des saisons. La sagesse, me direz-vous? Sûrement. Je n'ai pas besoin de billets d'avion, ou même de billets de grandes évasions, pour oublier quoique ce soit d'un passage de ma vie, ou valider, qui je suis vraiment au présent.

Notre chez-soi, c'est réellement l'endroit le plus sincère pour se découvrir et voyager léger dans les merveilleuses et incontournables voies du 💗.

N.B. Cette idée d'écrire sur ce sujet a démarré, après avoir discuté au téléphone avec une enseignante et amie qui a fait de nombreux voyages. Elle a décidé de terminer ses périples et de découvrir le simple bonheur, au quotidien, chez elle. De plus, elle me disait qu'il lui manquait toujours quelque chose d'essentiel, lors de ses nombreux retours au bercail, même dans la beauté des endroits visités. Merci, chère amie!

Écrit et publié par Martine Pelletier (auteure)

Photos: libres de droits



dimanche 26 janvier 2025

Humour à saveur de vérité (15)



  
Tout s'est terminé à saveur de notes de piano.


     Et, il est là pour longtemps, quel courageux!



       Tellement généreux d'avoir eu cette idée folle.

                 Tout dépend avec qui on le boit.



       Une idée géniale pour se protéger de la pluie.

Textes: Martine Pelletier
Publié par Martine Pelletier

vendredi 24 janvier 2025

Le rêve d'un renardeau

                        
                              Photo du renardeau: J.F. Gagné Photos

Certainement, vous me reconnaissez

Un photographe passionné

De notre coin de pays adoré

M'a permis de vous montrer

Mon regard de renardeau joliment futé

Savez-vous ce qui me fait rêver

C'est magiquement me retrouver

Non pas sous terre, tapi dans un profond terrier

Et, faire confiance à mes fidèles alliés

À ces vents qui chatouillent mon nez

Me dirigeant droit vers un poulailler

Pour ainsi voir mes yeux briller

Devant un exquis festin tant désiré

Non, mon rêve le plus cher est de me retrouver

Dans une fable tant racontée

D'apercevoir sur un arbre perché

Monsieur le Corbeau imbu de fierté

Tenir dans son bec un fromage à l'odeur alléchée

Et, lui vanter à tout rompre sa magnifique beauté

Ainsi que sa voix en or transperçant les boisés

Et, ce Phénix des bois pourrait encore succomber

À mon titre de renardeau très rusé

Enfin, à la vitesse de l'éclair, récupérer

Ce morceau de fromage tant convoité

Mon bonheur serait aussi d'être apprivoisé

Par le Petit Prince, héros du monde entier

Aujourd'hui, c'est une chose tellement oubliée

Les hommes ne pensent qu'à chasser

Ou à sombrer dans leur individualité

Comme j'aimerais laisser aux poules leur liberté

Ma vie serait à jamais ensoleillée

De ce Petit Prince, m'en faire un ami et un allié

Son bruit de pas à mes oreilles serait certes satiné

Au loin, les vastes champs de blé 

Pourraient me faire souvenir de ses cheveux dorés

De plus, lui confier une grande vérité

Que nous sommes responsables à perpétuité

De ce que nous avons apprivoisé

Voilà mon rêve de renard dévoilé

Qui sait, peut-être deviendra-t-il réalité.

Écrit et publié par Martine Pelletier
Photo principale: J.F. Gagné Photos
Autres photos: libres de droits

 



jeudi 23 janvier 2025

Mes lectures:Fusion Mère-Fille


 

Résumé:

Certaines femmes, dès leur naissance, nouent avec leur mère un lien qui les retient prisonnières d'un destin qui n'est pas le leur. 

Dépressives ou en état de mal-être sans raison apparente, elles cherchent parfois en vain la route qui leur permettrait d'entrer dans leur propre vie, leur créativité et leur histoire.

À travers le périple sinueux de trois femmes qui, grâce à la psychanalyse, sont parvenues à s'affranchir de leurs «Surmères», Doris-Louise Haineault propose une immersion dans les eaux profondes de l'inconscient de la relation mère-fille. Elle indique des voies urgentes par où passer pour ne pas laisser sa peau.

Remarquable analyse des affects des femmes, ce livre, écrit dans un langage simple et direct, s'adresse à toutes les personnes qui veulent comprendre la complexité des liens qui unissent une mère à son enfant.




Passage du livre:


Il y a un leurre dans ce contrat que l'enfant n'a même pas pu signer: la mère lui refile sa dépression et ses angoisses archaïques. 


Cet amour « indéfectible » est conditionnel au rôle vital que la fille doit jouer dans la relation dictée par la mère — un rôle de soutien: soutenir la mère dans sa position d'omnipotence, d'omniscience, devenir son complément maternant, l'animer, se laisser « penser » par elle.


Prise dans ce piège aliénant, l'enfant apprend à jouer son personnage, à développer un faux self au prix de son vrai self, son identité propre. 



Avis:


La lecture a certainement la saveur d'être violente, brutale et dérangeante, mais parce qu'elle appuie sur plusieurs points importants, que l'auteur parle de s'en sortir ou y laisser sa peau. 

C'est vraiment de cela qu'il est question: sauver sa peau. Le long chemin, ardu, parsemé d'obstacles, mais la liberté intérieure est au bout du chemin si les prisonnières de cette conjoncture se donnent des moyens de se sortir la tête hors de leur prison invisible.

Publié par Martine Pelletier

mercredi 22 janvier 2025

Tourne ton regard

 

Tous ceux que tu désires dans ta vie
Ne te veulent pas toujours dans la leur.
Ne t’épuise pas à te parer de lumière,
Ni à leur offrir des services sans retour,
Car leur 💗 reste indifférent,
À ta présence ou à ton absence.

Tourne ton regard vers ceux qui te voient,
Ceux qui chérissent ta vérité.
La vie est un souffle trop court,
Pour la gaspiller dans des chemins sans échos.
Entoure-toi d’âmes qui t’élèvent,
De présences qui te rappellent ta valeur.
Ces âmes-là, à chaque étape,
Seront ton refuge et ton étoile.

Robert De Niro
Publié par Martine Pelletier
Montage photo: Martine Pelletier

mardi 21 janvier 2025

Tout en humour: Flushe, flushons, flushez

 

Flushe, flushons, flushez à l'impératif présent

Trois mots populaires virtuellement

Considérés pauvres, sans aucun engouement

Employés presque aveuglément

Comparables à un vaste torrent

Nés d'une idée sans grand fondement

D'un coup d'éclat sans le moindre jugement

Pour se sentir vraiment importants

L'espace d'un tout minime instant

Replonger dans ses fresques d'adolescents

Avec cette incapacité d'être des géants

Moyens de communication inexistants

Et, voilà qu'on se pense intelligents

En suivant d'un pas nonchalant 

Ces moutons coiffés d'un carcan

Qui n'oseront jamais devenir des Tarzans

Ainsi, ils vous entraîneront sournoisement

Dans leur monde vide de sentiments.

Publié par Martine Pelletier





lundi 20 janvier 2025

Tout en humour: La commère caméléon




Elle est une drôle de commère caméléon

Remplaçant le père Ovide de renom

Habile à changer de visage à sa façon

Incapable de fredonner des chansons

Ni de danser en cadence des rigodons

Sa spécialité dans tous les jargons

Est de déblatérer haut et fort sans raison

Peu importe les endroits et les saisons

Croyez-le, c'est son unique vocation

Et, sa plus légitime consolation

Je dirais même sa sublime passion

Ce commérage gratuit sans modération

Ça lui crêpe haut la main le chignon

De plus, tellement fière de ses révélations

Même si cela nuit à ses rares relations

En causant aussi de nombreuses frictions

Ne se souciant guère de la triste destruction

Qu'elle laisse au passage dans son sillon! 

Montage et publié par Martine Pelletier

N.B. Toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d'une pure coïncidence. 😉








Pain de viande à la sauce Chili




Ingrédients

Pain

Une livre de bœuf haché
1/3 tasse de sauce chili
1/3 tasse de gruau (flocons d’avoine)
¼ tasse d’oignons hachés très finement
1 c. à thé de sel
¼ c. à thé de poivre
1 œuf
Une pincée de thym séché
¼ tasse de parmesan râpé

Sauce 
1 c. à table de cassonade
½ c. à thé de moutarde sèche
6 c. à table de ketchup

Méthode 

Mélanger tous les ingrédients du pain de viande et déposer dans
un moule à pain beurré.

Mélanger les ingrédients de la sauce et étendre sur le pain de viande.

Cuire au four à 350°F pendant environ 1 heure et servir!

(Source : Dans la cuisine de Tartine)
Publié par Martine Pelletier




samedi 18 janvier 2025

Une grande absence



Une grande absence ne s'efface pas,

mais elle cesse de saigner, elle cicatrise.

Elle vous devient une présence endormie, très fidèle,

qu'on apprend à emporter avec soi à travers sa vie,

à travers ses autres peines et même, à travers ses joies.

Fanny Deschamp

Publié par Martine Pelletier

Photo: mon choix et libre de droits








vendredi 17 janvier 2025

Vieillir en beauté




Ne regrette pas de vieillir, c'est un privilège refusé à beaucoup.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son 💗,
Sans remords, sans regret, sans regarder l'heure,
Aller de l’avant, arrêter d’avoir peur
Car, à chaque âge, se rattache un bonheur.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps,
Le garder sain en dedans, beau en dehors.
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L’âge n’a rien à voir avec la mort...


Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse,
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et, qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.


Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement.
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan.
Être fier d’avoir les cheveux blancs,
Car, pour être heureux, on a encore le temps.
Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour,
Car, où que l’on soit, à l’aube du jour,
Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.


Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir,
Être content de soi, en se couchant le soir.
Et, lorsque viendra le point de non-recevoir,
Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir.
Félix Leclerc
Publié par Martine Pelletier
Photos: libres de droits

lundi 13 janvier 2025

Petit intermède de la vie (51)


C'est le souvenir qui construit l'être humain,

qui le situe dans l'histoire,

son histoire personnelle,

et la grande histoire du monde qui nous entoure.

Et, les paroles sont les traces que nous laissons derrière nous.

Susanna Tamaro
Publié par Martine Pelletier
Photo: libre de droits





vendredi 10 janvier 2025

Humour à saveur de vérité (25)


                 C'est plus que vérifié mon petit chéri.

    Ces élèves ont beaucoup d'humour et d'imagination.


        Collés hier, collés aujourd'hui, collés demain.

          La solution est de rester sur place, cher ami.


             Qui se sent assez brave pour oser essayer?

Textes et publié par Martine Pelletier

dimanche 5 janvier 2025

Lit de glace

Une photographe amateur britannique a remporté le prestigieux prix Wildlife Photographer Of The Year. 

Nima Sarikhani a capturé l'image d'un ours polaire endormi sur un iceberg au large de l'archipel norvégien du Svalbard.

La photo, intitulée Ice Bed, a été couronnée lauréate du prix Wildlife Photographer Of The Year (Photographe de la vie sauvage de l'année) décerné par le Muséum d'histoire naturelle, après avoir été réduite à une liste restreinte de 25 photos parmi près de 50 000 candidatures provenant du monde entier. 

Publié par Martine Pelletier